Daquan ○○ Be your one kind of beautiful

nom complet ● daquan lyons âge, lieux de naissance ● 24 ans, Chicago. origines et nationalité ● Anglais, avec des origines Américaines de par tes parents biologiques. occupation et statut financier ● étudiant en danse & livreur de pizza, besoin de travailler pour aider tes parents à payer ton école. statut civil et orientation sexuelle ● célibataire, ouvert d'esprit même si tu n'as succombé qu'aux courbes féminines jusqu'à présent. couleur préférée ● le bleu, quelque soit sa déclinaison. chanson préférée ● en réalité tu écoutes de tout, réellement de tout, mais en ce moment tu affectionnes plus particulièrement "Light Down Low" de "Max Schneider". plat préféré ● les spaghettis bolognaise, tu pourrais en manger à longueur de journée ! plus grand rêve ● devenir danseur pro. plus grande peur ● perdre l'espoir qui fait de toi ce que tu es. traits de caractères ● Humain . Altruiste . HyperSensible . Intuitif . Dévoué . Dépendant . Imaginatif . Rêveur . Renfermé . Solitaire . Possessif . Protecteur . groupe • anywhere.

S'il vous plaît: développez vos réponses en un minimum de trois lignes.
depuis quand vivez-vous à port isaac ? ● Tu es né à Chicago, mais abandonné dès ta naissance, tu as été adopté par une famille anglaise, vivant donc à Port-Isaac. On peut donc dire que tu as vécu ici toute ta vie, à moins qu'il ne faille prendre en compte les quelques mois qui ont suivi ta naissance ? Quoi qu'il en soit, cela fait bel et bien 24 ans que tu parcours les rues de Port Isaac.
qu'est-ce que vous pensez du village ? ● tu n'es pas quelqu'un de très sociable, au contraire tu es même très renfermé comme personne alors le fait de te retrouver dans une petite communaité tel que celle de Port Isaac, ça n'a pas toujours été facile pour toi. Mais tu as grandi ici et tu t'es habitué à cela. Désormais tu sais apprécier ce que ce village a à offrir et tu tires toute ton inspiration créatifs de la beauté de ce lieux. Tu es heureux de connaitre Port Isaac, et peu importe ce que deviendra ta vie, tu sais que cet endroit sera encré en toi à jamais.
donnez trois mots qui définissent port isaac d'après vous familiale, c'est la première chose qui te vient en tête, surement le côté petit village qui te fait cet effet là, ou peut-être parce que c'est tout simpement ici qu'on t'a permis d'avoir une vie de famille. Pureté, voila le deuxième mot qui te passe en tête en pensant à Port Isaac, l'air marin, la végétation, voila de quoi purifier tout âme qui passerait dans le coin. Oppressant, de par sa petitesse, ce village te donne parfois une impression d'être claustrophobe. Bien que tu 'apprécies réellement, tu sais que si tu veux atteindre ton but dans la vie, tu devras partir d'ici, voir plus grand.
quel est votre endroit préféré à port isaac ? ● La falaise, sans hésitation. Tu aimes aller danser tout en haut de la falaise, te donnant l'impression de voler au dessus de tout. La danse a déjà ce pouvoir a sur toi, mais dans ce lieu, c'est encore plus magique à tes yeux.
quel(s) défaut(s) a port isaac pour vous ? ● Trop petit, trop calme peut être. Pour des adolescent en attente de mouvement constant, ce n'est pas toujours facile, alors oui, peut être que c'est ce que tu reprocherai le plus à ce village.

Doté d'un sens psychologique inné, tu appréhendes rapidement le sens caché des apparences ● Tu es capable de grand sacrifice pour les personnes qui te sont proches ● Tu aimes plus que tout faire plaisir à ton entourage  ● Quand quelque chose ne te plait pas, tu te renferme rapidement dans ton propre monde  ● Plusieurs tatouage orne la peau de ton corps • Tu rêves de devenir danseur ● Tu es un grand amateur de shit et ne t’en cache pas ● Tu détestes la fumée de cigarette, de même que l’odeur du tabac froid, en fait tu détestes la cigarette en elle même  ● Tu ne suis que tes envies peu importe ce qu’on peut t’ordonner de faire ou ne pas faire ● Tu as tes rêves, et fait tout ce qui est en ton pouvoir pour les atteindre. ● Pour toi chacun est libre de choisir sa vie, mais surtout tout le monde est à égalité dans ton monde. ●  La hiérarchie, tu ne t’en préoccupes pas, ce qui a pu te causer quelque soucis parfois, mais tu es tellement lunaire que tu ne t’en rends pas forcément compte. ● Tu aimes à aider ton prochain, espérant profondément que ce monde finira par changer, et devenir meilleur ● Beaucoup te pensent homosexuel, et ça t’importe peu ● Tu te passionne pour la photographie à tes heures perdues ●

Daquan, petit enfant abandonné à la naissance, tu as eut la chance d’être adopté très rapidement par une famille tout ce qu’il y a de plus gentille, vivant à Port Isaac. Ils s’occupent bien de toi, te protège, peut-être un peu trop d’ailleurs, faisant de toi un enfant très dépendant à l’amour. Alors en grandissant, en passant les portes de l’école pour la première fois, tu as fais partie de ces enfants qui pleurent toutes les larmes de leur corps parce qu’ils ne veulent pas se séparer de leur mère. C’était impensable à tes yeux alors que cela faisait des années que tu vivais accroché à elle. Les premiers temps ont été très difficile, le fait d’être seul, sans la présence d’un de tes parents pour ta rassurer t’a rendu solitaire, renfermé, repoussant tout enfant qui essayait de t’aider à t’intégrer. Tu restais près de la maîtresse, seul personne qui te semblait digne de confiance, puisqu’elle était la seule adulte présente. Puis le temps a passé, tu as finis par t’habituer, bien que tu restais quand même plutôt dans ton coin. Tu ne te sentais pas comme eux et en un sens tu avais raison, tu étais différent par bien des points.

Quelques années plus tard, on a découvert que tu étais victime d’hypersensibilité. Enfin, victime, façon de parler, mais c’était en effet ce qui régissait ta vie. Tout ce que tu pouvais ressentir, tu le ressentais puissance mille. Que ce soit l’amour, la colère, la peine, tu n’avais aucune limite, et tu le ressentais au plus profond de ton âme. Ce n’était pas facile à gérer, pour qui que ce soit, mais on avait conseillé à tes parents de trouver un sport qui t’aiderait à te canaliser. C’est ainsi que tu as commencé à essayer tout un tas de discipline différente, mais aucune ne te plaisait réellement. Un sport individuel te poussait à te demander toujours plus et te rendait encore plus dur envers toi même. Un sport d’équipe te faisait te donner à fond, mais pas pour toi, pour ton équipe, ce qui faisait que tu te mettais encore plus de pression. Tout cela était compliqué, et tu voyais bien que tes parents ne savaient plus quoi faire de toi. Alors tu t’en voulais, et cherchais de ton côté comment rendre heureux ceux qui avaient tant pris soin de toi, jusqu’au jour, où à force de chercher des sport que tu n’aurai pas encore essayer sur internet, tu es tombé sur des videos de danse. et sans même que tu ne t’en rende compte, tu as passé ta journée à enchaîner des vidéos, de danse classique, de danse moderne, de hip hop, danse de salon, tout ce qui touchait à la danse y était passé et tu étais captivé par ce que tu voyais. Remarquant ton attrait pour cette discipline, tes parents ont cherché les cours de danse les plus proche et t’ont inscrit très rapidement.

La danse est très vite devenu ta bouée de secours. Regardant des gens danser était quelque chose que tu pourrais faire à longueur de temps, mais lorsque toi, tu dansais, c’était encore mieux. Tu te sentais libre, tu ne pensais plus à rien, c’était comme si tu n’étais plus toi même. Comme si tu sortais de ton propre corps pour devenir simple spectateur de ce que tu étais entrain de vivre. Ca faisait du bien, tu te sentais réellement libre, et tu devais bien avouer qu’au fil du temps, tu arrivais à mieux canaliser tes sentiments. Mais la danse n’était pas la seule aide à cela. Non, il y avait aussi eut l’arrivé de tes voisines. Tu n’étais pas du genre à aller vers les gens, bien au contraire, mais sans que tu ne saches pourquoi, Effy et Bliss, les jumelles qui venaient d'emménager à côté de chez toi, avaient eut un effet aimanté sur toi. Intrigué par le fait qu’elle soit deux, tu avais cherché à te montrer, en douceur, ne sachant pas trop comment faire. Alors tu t’étais contenté de leur sourire à chaque fois que tu les croisais, puis par dire bonjour, et finalement, leur parler comme si cela était normal. Sans trop savoir comment ni pourquoi, tu te sentais vraiment lié à ses deux jeunes filles et en fin de compte c’est devenu le cas. Tous les trois inséparables, vous avez grandi ensemble, fais vos conneries ensembles, et tu serai près à tout pour le bien être de ces jeunes femmes désormais.

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